Qui est 3H?

Un article de presse vient d’être publié le 23 novembre 2022 il résume ce que j’avais pour mission lors de ce voyage avec Philippe Franck, vous trouverez d’autres précisions sur notre site.
(à la suite sur cette page)

Courrier Picard 23/11/2022

De retour à Kalapet le 30 octobre 2022…

Sœur Lili, Sœur Pressena, Augusto, Sœur Rosalie et Philippe

Sœur Lili, Sœur Pressena, Augusto, Sœur Rosalie et Philippe

C’est à l’été 1993 que je suis venu à Pondicherry pour la première fois. C’était pour mettre en place
un projet de parrainage ; j’avais choisi Kalapet parce que c’était le projet qui correspondait le mieux à
ce que je cherchais.
Très vite s’est posé le problème de définir ce en quoi nous nous engagions et ce que l’on demandait
comme retour pour suivre le projet. C’était compliqué pour moi d’expliquer à une religieuse Indienne
(c’était Sœur Sylvia en 1993) elle s’exprimait surtout en Tamoul et Anglais, la barrière des langues
rendait la tache difficile pour moi, à vrai dire je ne voyais pas comment faire.
Par une heureuse coïncidence, d’autre diraient la providence… la maison mère des Religieuses de
Saint Joseph de Cluny est à Paris ou je suis allé demander l’aide à Sœur Rosalie Cota qui coordonnait
les actions de cette congrégation en Inde. A cette époque c’était Sœur Rosalie Cota. Elle m’a aidé à
rédiger une convention qui a permis de définir ce en quoi nous nous engagions et ce que l’on
demandait en retour.
Ce document a été signé à chaque changement de responsable à Kalapet, et presque tous les ans,
nous avons eu un ou plusieurs bénévoles qui rendaient visite aux enfants parrainés. Mais depuis
quelques années il y a eu un peu moins de bénévoles et diverses complications administratives.
Il était indispensable de revenir à Kalapet pour à nouveau retisser les liens qui s’étaient un peu
distendus et c’est une chance formidable d’avoir d'avoir pu réunir  Sœur Pressena  responsable
actuel à Kalapet, (à ma droite sur la photo), , aidé par Sœur Lili à sa droite et Sœur Rosalie Cota (à ma
gauche sur la photo) présente lors de cette convention.
Philippe Franck qui est actuellement trésorier de l’association 3H était également présent (à ma
gauche sur la photo), ce n’est là que des détails administratifs, le plus important c’est l’action réelle
et l’aide apportée à l’éducation des enfants.
La vraie raison pour laquelle j’avais choisi ce projet en 1993 était la cohérence entre la création de
l'association 3H et le constat effectué sur place de ces religieuses qui aidaient les enfants sans
distinction d’origine, de caste ou de religion. Elles aident les enfants qui en ont le plus besoin avec un
grand soin et dans le respect de ceux qu’elles aident.
C’est sans doute un formidable clin d’œil de la providence que Sœur Rosalie Cota se trouve là à ce
moment important pour nous. Il y a près de trente ans, elle m’avait aidé à créer ce document sur
lequel est fondée notre action avec les enfants. Je ne l’avais pas revue depuis plus de 20 ans car elle
était en mission en divers endroits dans le monde.
Le plus important c’est l’action réelle qui est menée pour aider ces enfants qui sont dans des
situations difficiles, leur permettre d’avoir la meilleure éducation possible, et d’abord et avant tout
leur permettre d’avoir plus tard un travail et un avenir.
Parmi des dizaines d’autres, K. Madhanraj à trouvé un bon travail dans une grande compagnie, il
était le deuxième enfant que parrainait Christine Lemaire, marraine de l’association depuis sa
création en 1993. Il y a beaucoup d’autres enfants, comme Dussya qui est mariée et a deux
enfants.Je pourrais parler aussi de Selva Kumarie mariée et 2 enfants, parrainée par Yolande Broy.
Elle avait bénéficié du financement de l'opération de ses pieds bots par l'association 3H, opération
dans laquelle  Marie-Paule Cardey s’était beaucoup investie pour en assurer le suivi. Ce ne sont là
que quelques exemples parmi plusieurs centaines d’enfants que l’association 3H à aidés depuis 1993.
Tout ce travail a été fait grâce aux parrains, aux dons et aux très nombreux bénévoles qui ont
contribué à notre action depuis trente ans !
Impossible de les nommer tous, mais c’est bien grâce à eux tous que nous avons réalisé toutes ces
actions.
Un grand merci à tous
Augusto Fernandes

C’est à l’été 1993 que je suis venu à Pondicherry pour la première fois. C’était pour mettre en place

un projet de parrainage ; j’avais choisi Kalapet parce que c’était le projet qui correspondait le mieux à

ce que je cherchais.

Très vite s’est posé le problème de définir ce en quoi nous nous engagions et ce que l’on demandait

comme retour pour suivre le projet. C’était compliqué pour moi d’expliquer à une religieuse Indienne

(c’était Sœur Sylvia en 1993) elle s’exprimait surtout en Tamoul et Anglais, la barrière des langues

rendait la tache difficile pour moi, à vrai dire je ne voyais pas comment faire.

Par une heureuse coïncidence, d’autre diraient la providence… la maison mère des Religieuses de

Saint Joseph de Cluny est à Paris ou je suis allé demander l’aide à Sœur Rosalie Cota qui coordonnait

les actions de cette congrégation en Inde. A cette époque c’était Sœur Rosalie Cota. Elle m’a aidé à

rédiger une convention qui a permis de définir ce en quoi nous nous engagions et ce que l’on

demandait en retour.

Ce document a été signé à chaque changement de responsable à Kalapet, et presque tous les ans,

nous avons eu un ou plusieurs bénévoles qui rendaient visite aux enfants parrainés. Mais depuis

quelques années il y a eu un peu moins de bénévoles et diverses complications administratives.

Il était indispensable de revenir à Kalapet pour à nouveau retisser les liens qui s’étaient un peu

distendus et c’est une chance formidable d’avoir d’avoir pu réunir  Sœur Pressena  responsable

actuel à Kalapet, (à ma droite sur la photo), , aidé par Sœur Lili à sa droite et Sœur Rosalie Cota (à ma

gauche sur la photo) présente lors de cette convention.

Philippe Franck qui est actuellement trésorier de l’association 3H était également présent (à ma

gauche sur la photo), ce n’est là que des détails administratifs, le plus important c’est l’action réelle

et l’aide apportée à l’éducation des enfants.

La vraie raison pour laquelle j’avais choisi ce projet en 1993 était la cohérence entre la création de

l’association 3H et le constat effectué sur place de ces religieuses qui aidaient les enfants sans

distinction d’origine, de caste ou de religion. Elles aident les enfants qui en ont le plus besoin avec un

grand soin et dans le respect de ceux qu’elles aident.

C’est sans doute un formidable clin d’œil de la providence que Sœur Rosalie Cota se trouve là à ce

moment important pour nous. Il y a près de trente ans, elle m’avait aidé à créer ce document sur

lequel est fondée notre action avec les enfants. Je ne l’avais pas revue depuis plus de 20 ans car elle

était en mission en divers endroits dans le monde.

Le plus important c’est l’action réelle qui est menée pour aider ces enfants qui sont dans des

situations difficiles, leur permettre d’avoir la meilleure éducation possible, et d’abord et avant tout

leur permettre d’avoir plus tard un travail et un avenir.

Parmi des dizaines d’autres, K. Madhanraj à trouvé un bon travail dans une grande compagnie, il

était le deuxième enfant que parrainait Christine Lemaire, marraine de l’association depuis sa

création en 1993. Il y a beaucoup d’autres enfants, comme Dussya qui est mariée et a deux

enfants.Je pourrais parler aussi de Selva Kumarie mariée et 2 enfants, parrainée par Yolande Broy.

Elle avait bénéficié du financement de l’opération de ses pieds bots par l’association 3H, opération

dans laquelle  Marie-Paule Cardey s’était beaucoup investie pour en assurer le suivi. Ce ne sont là

que quelques exemples parmi plusieurs centaines d’enfants que l’association 3H à aidés depuis 1993.

Tout ce travail a été fait grâce aux parrains, aux dons et aux très nombreux bénévoles qui ont

contribué à notre action depuis trente ans !

Impossible de les nommer tous, mais c’est bien grâce à eux tous que nous avons réalisé toutes ces

actions.

Un grand merci à tous

Augusto Fernandes

La bibliothèque de Suvasam (près de Tiruvannamalai)
a un livre de plus !

Livre offert aux enfants de Suvasam (bibliothèque construite par 3H il y a près de 20 ans)

Livre offert aux enfants de Suvasam (bibliothèque construite par 3H il y a près de 20 ans)

Un autre livre a été offert aux enfants de Suvasam offert par notre ami Benoit Roland. Ce livre est l’un des nombreux livres édité par

« CAP REGIONS EDITIONS »

Ce livre sur le Noyonnais ira enrichir la bibliothèque que nous y avons construite il y a près de 20 ans et permettra aux enfants de découvrir notre région.
Ce cadeau symbolique est aussi une manière pour nous de mettre à l’honneur le formidable travail fait par Rosario depuis 35 ans.

(Nous leur avons remis ce livre le dimanche 23 octobre 2022)


Le 22 octobre l’ONG “POPE INDIA” (situé près de Tiruvannamalai) célébrait ses 35 ans.

Le 22 octobre l’ONG “POPE INDIA” (situé près de Tiruvannamalai) célébrait ses 35 ans.

Le 22 octobre l’ONG “POPE INDIA” (situé près de Tiruvannamalai) célébrait ses 35 ans.

Il y avait divers officiels qui ont eu une participation bienveillante à cette action,

mais aussi 4 représentants d’associations françaises ou étrangères

qui ont contribué au financement de divers projets :

Augusto Fernandes et Philippe Franck
Représentaient l’association « 3H » en France

Élise Arnold
Représentait « Enfants du Monde » en Belgique

Cécile David

Représentait « Le souffle du sud » en France

Le succès de cette action menée par Rosario est aussi d’avoir su réunir avec

nous divers acteurs locaux et d’autres pays.
Sur la photo de cet article on voit la distribution de cartables à des jeunes filles

qui seront soutenues dans leur scolarité jusqu’ au niveau secondaire et supérieur,

comme des centaines d’autres enfants.

Le succès de l’action de Rosario est aussi d’avoir su réunir dans un même projet d’éducation

divers acteurs locaux ou étrangers.
Nous contribuons tous ensemble à un seul et même projet celui d’aider

le plus grand nombre possible d’ enfants dans leur scolarité alors rien d’étonnant

de distribuer des stylos et bombons à des enfants pendant qu’Élise fait

le point sur les parrainages de ces mêmes enfants.

Philippe plante un arbre… tout un symbole.

Philippe Franck derrière lui, Rosario , Élise Arnold et Cécile David

Philippe Franck derrière lui, Rosario , Élise Arnold et Cécile David

Pour célébrer les 35 ans de la création de son ONG au service des plus pauvres

de la région de Tiruvannāmalai, Rosario a proposé à tous les invités des diverses

organisations Indiennes ou étrangères à planter un arbre.

Sur cette photo vous voyez Philippe Franck qui plante un arbre (3H – France – Noyon),

derrière lui, Rosario fondateur de cette organisation,

juste à côté Élise Arnold qui représentait « Enfants du monde » Belgique,

à ses côtés, Cécile David qui représentait « Le souffle du Sud » France.

Ce qu’il est important de savoir, c’est que le terrain acheté par Rosario au début de

son action il y a une vingtaine d’années, était un terrain vague aride et sec,

sans aucun arbre.

Une des premières choses qu’il a faites, c’est chercher un point d’eau, faire un abri

rudimentaire qui a servi à accueillir les premiers enfants, pour leur donner les premiers

éléments d’une instruction, afin de les scolariser.

Depuis, diverses associations comme la nôtre en France ou d’autres y compris

certaines entreprises en Inde qui ont bien compris l’utilité de son travail,

l’ont aidé sous des formes diverses, notamment pour la construction de divers

bâtiments pour loger ou scolariser les enfants sur place.

Parallèlement au développement de son organisation, il a aussi entrepris de planter

des dizaines d’arbres d’ornement ou fruitiers, qui rafraîchissent ses centres d’accueil

des enfants tout en contribuant à leur éducation.

Planter des arbres n’est pas qu’une simple activité de loisir,

c’est aussi une manière de contribuer à leur éducation et à leur faire

prendre conscience de l’influence qu’ils peuvent avoir sur leur environnement,

sans doute une autre manière de faire de l’écologie, non pas avec les théories

fumeuses de politiciens, mais par la pratique et l’action réelle que chacun

peut trouver à sa portée.

Planter des arbres fruitiers est aussi une manière de contribuer

à l’alimentation des enfants qui ont par la même occasion des fruits frais.

Voir ces centaines d’enfants aller à l’école pleins d’espérance en un avenir meilleur

est une source de joie pour nous et le véritable sens de notre action.


Augusto Fernandes


Qui est 3H?

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L’association 3H et née d’une idée simple : nous avons eu la chance de naître dans un pays où il est “normal” que les enfants aillent à l’école.

Dans bien d’autres pays, ce n’est pas le cas…

Ayant partagé cette idée avec quelques amis, nous avons décidé de créer une association.

Dans le cadre de notre action, nous nous interdisons toute forme de discrimination, citons l’ARTICLE 15 de nos STATUTS:

Cette association est :

Apolitique

Areligieuse

Araciale

Il est important que ses membres, notamment les membres du bureau, respectent ces trois points.

Les endroits dans le monde où les enfants n’ont pas la chance d’aller à l’école sont malheureusement nombreux. Comment s’est fait notre choix ? J’ai eu l’opportunité de rencontrer des enfants adoptés originaires de la région de Pondicherry en Inde. Aussi, suite à ces premiers contacts, nous avons décidé de commencer notre action dans cette région (Kalapet fait partie du territoire de Pondicherry).

Après la réunion constitutive du 14 février 1993, j’avais pour mission l’été suivant de trouver un projet et un partenaire sur place qui respecte les principes que nous avions adoptés.

Le projet qui correspondait le mieux à notre action se situait à Kalapet (proche de Pondicherry), où une communauté religieuse de Saint Joseph de Cluny venait de s’installer depuis avril 1993. Leur mission sur place était axée sur trois points principaux :

scolariser des enfants,

- Apprendre un métier et les rudiments d’une éducation aux jeunes filles entre 15 et 25 ans,

- Jouer un rôle social par une aide quotidienne aux habitants de la région.

Sur place, j’ai constaté que c’est la pauvreté qui dictait le choix des enfants à aider. C’est la principale raison pour laquelle ces enfants sont choisis.

Ce projet correspondait aux critères que nous avions définis. Nous avons donc tout naturellement décidé de commencer la scolarisation d’enfants soutenus par un système de parrainage.

Président 3H

Augusto FERNANDES

C’était il y a dix ans déjà, 3H avait 20 ans, bientôt 30 ans…

Ce qui a été organisé en 2013:

Le samedi 19 octobre 2013

« Un repas pour Gavery »

au Chevalet à Noyon

Réservations avant le 7 octobre
Réservations : Christian TOULLIC
03 44 75 04 39
06 85 42 00 77

Dossier de presse : “20 ans d’Itinéraire 3H dans l’univers indien” MCG Noyon Octobre 2013

affiche_Univers-indienMCG-Noyon2013


Pourquoi nous faisons cette action pour Gavery, voir:

Un repas pour Gavery le 19 octobre 2013

Articles à propos du repas Indien pour Gavery :

Vivre Noyon octobre 2013

Oise Hebdo N°1022   02 10_2013

Courrier Picard 12 10 2013

Le Parisien 21 10 2013

Courrier Picard 22 10 2013

Oise Hebdo N°1025 23 10 2013

Courrier Picard 15 11 2013

Oise Hebdo N°1029 20 11 2013

Courrier Picard 15 12 2013

Oise Hebdo N°1034   24 12 2013

Autre action en cours: Action Tamim

Commerce équitable…
Nous avons en projets plusieures actions que nous anoncerons bientôt (des qu’elles seront confirmés) et avons depuis cette années de l’artisanat en expo-vente à l’Esp@ce des enfants à Noyon
Vous pouvez trouver leur site la: Esp@ce des Enfants – NOYON

Qui est 3H?

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L’association 3H et née d’une idée simple : nous avons eu la chance de naître dans un pays où il est “normal” que les enfants aillent à l’école.

Dans bien d’autres pays, ce n’est pas le cas…

Ayant partagé cette idée avec quelques amis, nous avons décidé de créer une association.

Dans le cadre de notre action, nous nous interdisons toute forme de discrimination, citons l’ARTICLE 15 de nos STATUTS:

Cette association est :

Apolitique

Areligieuse

Araciale

Il est important que ses membres, notamment les membres du bureau, respectent ces trois points.

Les endroits dans le monde où les enfants n’ont pas la chance d’aller à l’école sont malheureusement nombreux. Comment s’est fait notre choix ? J’ai eu l’opportunité de rencontrer des enfants adoptés originaires de la région de Pondicherry en Inde. Aussi, suite à ces premiers contacts, nous avons décidé de commencer notre action dans cette région (Kalapet fait partie du territoire de Pondicherry).

Après la réunion constitutive du 14 février 1993, j’avais pour mission l’été suivant de trouver un projet et un partenaire sur place qui respecte les principes que nous avions adoptés.

Le projet qui correspondait le mieux à notre action se situait à Kalapet (proche de Pondicherry), où une communauté religieuse de Saint Joseph de Cluny venait de s’installer depuis avril 1993. Leur mission sur place était axée sur trois points principaux :

- scolariser des enfants,

- Apprendre un métier et les rudiments d’une éducation aux jeunes filles entre 15 et 25 ans,

- Jouer un rôle social par une aide quotidienne aux habitants de la région.

Sur place, j’ai constaté que c’est la pauvreté qui dictait le choix des enfants à aider. C’est la principale raison pour laquelle ces enfants sont choisis.

Ce projet correspondait aux critères que nous avions définis. Nous avons donc tout naturellement décidé de commencer la scolarisation d’enfants soutenus par un système de parrainage.

Président 3H

Augusto FERNANDES

thumb_735d86464bf63b9871fcc8ff0b956c6fSoeur de S.Sasikala (15)1 GEO ok DSC_1261
11 GEO ok DSC_1219

12 GEO ok DSC_1265

Un principe simple qui nous guide depuis le début de notre action:

“Donner un poisson c’est bien, apprendre à pêcher c’est mieux”

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lllllllllllllllllllllllll

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Si vous souhaitez nous contacter, utilisez de préférence le formulaire “contactez-nous”.

Si vous souhaitez contribuer à notre action, utilisez de préférence “ce formulaire”.

Merci de votre compréhension.

Exposition  d’instruments Indiens

Pourquoi une conférence sur les OGM?

Dossier de presse de l’expo de Compiègne Avril 2012

Continuons à aider Gavery en 2015

Le 19 octobre 2013 nous avons fait un repas Indien pour contribuer aux frais d’hospitalisation de Gavery et l’aider dans son quotidien.


Elle est à l’hôpital depuis plus d’un an et nécessite maintenant des soins quotidiens encore plus importants, c’est pourquoi nous lançons un appel aux dons pour continuer de l’aider en 2015 (voir le lien ci-après).


Cette action est à titre exceptionnel, il est impossible pour nous de rester insensibles à celle que nous connaissons depuis tant d’années et qui a toujours été là à chaque fois que ça lui était possible, pour nous aider dans notre action de parrainage d’enfants.

Monsieur Joël Gentilini avait souhaité offrir son fauteuil roulant à Gavery ou à des pauvres en Inde, lire:
Oise Hebdo N°1079 05 11 2014

Gavery étant en trop mauvaise santé pour pouvoir utiliser ce fauteuil, il a été offert à la la clinique St Joseph à Pondicherry (ou est hospitalisée Gavery depuis un an et demi), lire:

Oise Hebdo N°1091 28 01 2015

En 2015 nous continuerons d’aider Gavery en faisant un appel aux dons, voir ce lien:

3H Continuons à aider Gavery en 2015

Cette action “ “Continuons à aider Gavery en 2015 “” est à titre exceptionnel, notre action ordinaire étant la scolarisation d’enfants à Kalapet.

Pour plus d’informations en ce qui concerne notre action de parrainage (notre méthode) lire à ce lien:

Parrainer des enfants…

Repas  Indien 19 10 2013

  • Éthique