Presse 2015

Oise_HebdoN°1091_28_01_2015mail

Pour ceux qui ne connaissaient pas Joël Gentilini, sa maladie (diabète) était grave au point d’avoir causé un handicap lourd qui nécessitait un fauteuil roulant électrique.
Quelques temps avant qu’il nous quitte, j’avais été le voir pour lui demander s’il voulait bien contribuer à l’exposé que devait faire mon fils Pierre, pour participer au Concours National de la Résistance et de la Déportation (CNRD) 2012/2013 il savait que çà me tenait à cœur et il a gentiment accepté, malgré le fait qu’il était très fatigué à cause de sa longue maladie.
C’est à cette occasion qu’il m’avait proposé de donner son fauteuil roulant électrique pour qu’il serve à Gavery ou d’autres pauvres en Inde. Je lui ai promis de faire des démarches nécessaires pour envoyer ce fauteuil en Inde.
Joël Gentilini nous a quitté peu de temps après et cette annonce signé de Stéphane le Barber et Jean-Luc Lienard est illustré par une photo ou vous pouvez voir l’exposé qu’avait fait Pierre (juste devant lui, c’est hors cadre dans la photo du journal, vous pouvez le voir dans la petite photo que j’ai rajouté) ce n’est sans doutes qu’une coïncidence, mais je ne pouvais que le remarquer.


Augusto FERNANDES

(article d’archives pour expliquer qui était Joël Gentilini qui a offert le fauteuil roulant électrique)

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Je connaissais Joël Gentilini depuis longtemps, il était très actif dans le milieu associatif et était toujours prêt à donner un coup de main.
En 2006 alors que j’étais correspondant de presse, j’avais eu l’occasion de faire un article sur la guerre en Algérie.
J’apréciais beaucoup sa manière de raconter cet épisode douloureux de sa vie, mais qui est aussi une partie de notre histoire à tous. Il racontait, sans rancœurs mais aussi sans complaisances, la réalité de la guerre et le choque quand ils ont débarqué un peut comme dans une colonie de vacances. Ils ont très vite été « embarqués » dans les horreurs d’une guerre que des jeunes hommes de vingt ans ne sont pas préparés à vivre.
Partager cet article est aussi une façon pour moi de lui rendre hommage et me souvenir de sa joie de vivre et son sourire emblématique qui ne le quittait presque jamais.
J’étais très touché qu’il ai l’attention d’offrir son fauteuil roulant, il a était très attentionné aux autres et c’est un c’est aussi une manière pour moi de vous faire découvrir qui il était, mais aussi de me souvenir de son courage.

Augusto FERNANDES

(article d’archives pour expliquer qui était Joël Gentilini qui a offert le fauteuil roulant électrique)

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